Le surentraînement apparaît lorsqu’un muscle est stimulé et qu’il ne profite pas correctement du stress que le sport procure (au muscle). Cela empêche de progresser et peut même mener à régresser. Pour remédier à cela, il faut d’une part réduire le stress, mais aussi améliorer la récupération.

Qu’est ce que le surentraînement ?

Le surentraînement est le fait de dépasser ses limites. Dans cette situation, le muscle est sollicité mais il ne bénéficie pas du stress qu’il reçoit. Si l’entrainement est trop important et trop fréquent, par rapport à vos capacités de récupération, vous êtes en surentraînement .

Après une séance de sport, le muscle subit un stress. Il a besoin d’un temps de récupération pour éviter les courbatures voire même de se froisser un muscle. Cela ne permet pas au muscle de se réparer et par conséquent de se développer.
Pour pouvoir progresser, il faut se laisser un temps de récupération. Si l’on ne se laisse pas ce temps, l’activité sportive sera inutile voie même nocive pour le corps.

Lorsque le muscle ne récupère pas, il ne refait pas le plein d’énergie nécessaire à la prochaine séance de sport. Les micros traumatismes dus à l’entrainement ne seront pas encore réparés. Le muscle, les articulations et les tendons ne seront pas renforcés.

Le surentraînement est un tout !

Le surentraînement ne concerne pas seulement une activité sportive excessive, mais il peut toucher le corps entier en général. L’environnement, le stress et le surmenage contribuent à cela.

Si vous n’avez pas une bonne alimentation et si vous manquez de sommeil, l’entrainement pourra mener à un surentraînement . Un bon équilibre est primordial pour avoir de bons résultats après le sport. La vie quotidienne a une grande part dans le surentraînement .

Lorsque l’on pratique un sport, tous les muscles sont sollicités. En travaillant les jambes, ce ne sont pas uniquement que ces dernières qui travaillent. Les articulations, le système hormonal, le système nerveux, l’appareil digestif ou encore le cœur sont également sollicités. En travaillant un muscle en particulier, tous les muscles autour se fatiguent aussi.

Plus le muscle sollicité est gros, plus l’impact qui résultera sur les muscles autour sera important, et ce, sur le corps entier. Pour ne pas que cela se produise, il faut ajuster la récupération selon l’entrainement.

Comment reconnaître que l’on est en surentraînement ?

Il y a de nombreux facteurs psychologiques et physiologiques qui prouvent que l’on est en surentraînement . Lorsque vous ressentez des difficultés à vous endormir malgré la fatigue, lorsque vous avez une perte d’appétit et que les courbatures persistent, ce sont des signes avant coureurs d’un surentraînement .
Le manque de concentration pendant l’entrainement, la perte de motivation, la nervosité et la facilité à se blesser sont des successions de choses qui ne trompent pas.

Mais il faut faire tout de même attention, lorsqu’il n’y a plus de progression, il ne faut pas de tout suite mettre en cause le surentraînement . Il est tout à fait normal de ne pas progresser de manière continue. Certaines séances sont plus difficiles que d’autres. Si cela se produit trop fréquemment, c’est alors qu’il faut faire attention. Dans une telle situation, notre équipe de coaches sont à votre disposition pour vous aider à trouver un programme adapté à vos besoins.

Pour ne pas se surentraîner, demandez conseil à nos coaches agrées Bodytec paris, ils répondront à tûtes vos questions.